Allez, zou. Entre fatigue et agacement, en grande partie liés à un boulot qui m’impose plus de quatre heures de transport par jour, je repars sur la solution de facilité consistant à vous balancer de la musique dans les oreilles.

On ne dirait pas, comme ça, mais au-delà de la flemme profonde qui justifie le procédé (et le degré certain de foutage de gueule qui le caractérise), c’est à chaque fois une part de moi que je vous révèle. True story.

En avant la musique !