Une fois n’est pas coutume (ahem…), voici une petite sélection musicale, pour meubler pour partager avec vous quelques pépites auditives, avec quelques commentaires de mon cru sur les vidéos en question. En espérant qu’elles ne soient pas « strike » trop vite, histoire que vous puissiez en profiter.

Je ne sais plus si je l’avais déjà postée, mais elle mérite au moins une deuxième fois. Il s’agit du thème principal du magnifique jeu The vanishing of Ethan Carter, qui est à la fois une excellente représentation de ce qu’est le jeu et l’un de ses très bons éléments constitutifs. Pour moi, c’était l’un des meilleurs walking sim de ces dernières années, avec Gone Home et Firewatch. Je vous recommande très vivement ces trois jeux, si je ne l’ai pas déjà fait (et je ne le ferai jamais assez, de toute façon).

Bah tiens, tant qu’on y est, du Firewatch :


Parce que je n’ai jamais caché mon grand attachement à Dirty Dancing, fort justement considéré par beaucoup comme l’un des films cultes de la fin des années 80 mais, injustement cette fois, méprisé comme « film pour adolescentes » (je vous renvoie à mon article de 2009) :


Youtube s’est beaucoup chargé, dernièrement, de me rappeler que cela faisait maintenant plusieurs années que je ne m’étais pas refait l’intégrale de Buffy contre les vampires, alors que je matais les 7 saisons au moins une fois par an depuis le début des années 2000. Un très bon rappel, ma foi, d’autant que les vidéos suggérées disaient en substance ce que je martèle depuis des lustres (ici ou ) : Buffy est très certainement la meilleure série depuis 1990, à coup sûr la plus importante pour l’industrie et la pop-culture. Ouais, rien que ça. Ça mériterait bien entendu tout un article pour hurler mon amour de cette œuvre majeure à la face du monde, mais en attendant cet été de me refaire la série, je vais la jouer soft :


Allez, terminons en beauté avec encore une chanson qui mériterait, à bien des égards, son propre article (pas impossible que j’y vienne, d’ailleurs) : The song of Durin. Ce texte, chef d’œuvre du magicien J.R.R. Tolkien, est un véritable bijou linguistique, une évocation magnifique d’une race imaginaire au tempérament bien forgé et à l’histoire ancienne, un miroir poétique sur la notion de création, une ode emprunte de la nostalgie d’un passé révolu et d’une civilisation sur le déclin. Bref, à mon avis un texte majeur, magnifiquement chanté par Clamavi De Profundis, qui s’est fait une spécialité de ce genre de chose. Pour tout dire, la seule écoute (en boucle) de ce titre m’a donné envie de relire Le Seigneur des Anneaux, Bilbo et, soyons masochistes, Le Silmarillion… voire d’autres textes plus obscurs du second auteur dans mon cœur (juste après Lovecraft). Allez, place à cette merveille :

En bonus, le texte.