Mais c’est que ça fait déjà un bail que je n’ai pas réécrit ici, moi ! Entre la fin de vacances animée et la reprise la semaine dernière, j’ai été un peu débordé. Bon, avouons que Guild Wars 2, sorti fin août, n’y est pas totalement étranger…
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Ceux qui suivent un tant soit peu l’actualité vidéoludique auront noté l’immense montée en puissance du jeu indépendant, depuis quelques années. Avec plusieurs données à observer, de natures variées : concepts originaux (jeu « de construction » à la Minecraft), business models novateurs (alpha/bêta payantes), levées de fonds de provenances diverses (kickstarter)…
Un projet récent m’a tapé dans l’oeil et combine les différents éléments listés plus haut : je vais prendre un moment pour vous parler un peu de Castle Story.
En dehors du français Ubisoft et du franco-américain Activision-Blizzard, à la réussite impressionnante (principalement pour des titres développés hors de France), et à la rigueur d’Ankama (Dofus, Wakfu), je ne voyais plus grand chose de très vivace dans le développement vidéoludique français. Rien qui ne puisse rappeler les heures de gloire de la fameuse « Fench Touch » d’Another World, Flashback et consorts. C’était sans compter sur cette année 2012, très riche en sorties ou en annonces, laissant présager un certain renouveau du jeu made in France, avec un rayonnement international retrouvé. Petit tour d’horizon.
(Petite précision : cet article avait été en grande partie écrit fin mai 2012, mais abandonné entre temps. Il ne colle plus beaucoup à l’actualité, du coup. Au moins je l’ai fini, ça me motivera peut-être pour reprendre !)
Un titre un peu trivial pour un jeu qui ne l’est pas tant que ça… car Bastion n’est pas (seulement) une sorte de hack’n slash/beat them all avec des graphismes BD, comme on pourrait le croire de prime abord. Rapide passage en revue de tout ce qui fait de ce titre un véritable bijou !
Vieux débat, ça : « heu trois » ou « i quioube » ? Cela vaut-il seulement la peine de se poser la question ? Non, vraiment, cette année ce n’est pas nécessaire pour meubler : beaucoup d’annonces, sur de très gros titres. Vous me direz, c’est comme ça tous les ans à l’E3, mais bon. Quelques morceaux choisis dans ce billet, avec moult trailers tous plus impressionnants les uns que les autres.